Chaque coucher du soleil, le phare vert de ma terre,
Invite l'âme d'enfant qui sommeille dans mon corps.
Pour l'attirer dans son nid il s'éclaire d'un tonnerre,
Et effraie les Hommes qui se noient sous mille remords.

Chaque coucher du soleil, mon triste ami solitaire,
Fait naître la lumière à travers l'outil éternel,
Les pupilles vertes en l'attente du narrataire,
Il observe le lointain - immenses ciels d'éther - elles?

Quand l'écho des trompettes annonce les cinq prémices
D'une guerre céleste au parfum meurtri et tragique,
Les mères pleurent de peur - au départ de leurs seul fils,
Et abreuvent la terre de prières Nostalgiques.

Il est temps de contempler l'envol de celles et ceux,
À l'immense courage qui façonne leur grandeur,
Il est l'heure d'honorer la venue des vastes cieux!